La CNIL annonce que le contrôle des outils de télétravail sera l’une de ses thématiques prioritaires en 2022
La CNIL effectue des contrôles sur la base de plaintes reçues, de l’actualité, mais également de thématiques prioritaires qu’elle choisit de sa propre initiative.
Le 15 février, la CNIL a annoncé que pour l’année 2022, l’une de ses trois thématiques prioritaires est le contrôle des outils de surveillance dans le cadre du télétravail.
La CNIL explique qu’elle a choisi cette thématique car le recours au télétravail a été rendu obligatoire par les différentes vagues épidémiques liées à la COVID-19 et que de nombreux salariés, agents et employeurs estiment qu’il va se généraliser et perdurer, tant dans les entreprises que dans les administrations, même lorsque la situation sanitaire sera redevenue normale.
Le recours au télétravail massif a en outre entraîné le développement d’outils spécifiques, parmi lesquels figurent des outils permettant aux employeurs d’assurer un suivi plus étroit des tâches et activités quotidiennes des salariés.
La CNIL considère donc aujourd'hui nécessaire de vérifier sur le terrain la conformité des pratiques des employeurs à la législation sur la protection des données personnelles et aux recommandations de la CNIL.
Le 15 février, la CNIL a annoncé que pour l’année 2022, l’une de ses trois thématiques prioritaires est le contrôle des outils de surveillance dans le cadre du télétravail.
La CNIL explique qu’elle a choisi cette thématique car le recours au télétravail a été rendu obligatoire par les différentes vagues épidémiques liées à la COVID-19 et que de nombreux salariés, agents et employeurs estiment qu’il va se généraliser et perdurer, tant dans les entreprises que dans les administrations, même lorsque la situation sanitaire sera redevenue normale.
Le recours au télétravail massif a en outre entraîné le développement d’outils spécifiques, parmi lesquels figurent des outils permettant aux employeurs d’assurer un suivi plus étroit des tâches et activités quotidiennes des salariés.
La CNIL considère donc aujourd'hui nécessaire de vérifier sur le terrain la conformité des pratiques des employeurs à la législation sur la protection des données personnelles et aux recommandations de la CNIL.